La Suisse a demandé, mardi 25 janvier 2022, à l’armée du Burkina Faso, « la libération » du Président Roch Marc Kaboré, et « le retour rapide de l’ordre constitutionnel ».
Une junte militaire, dirigée par le Lieutenant-colonel Paul-Henri Sandaogo Damiba, a annoncé hier lundi 24 janvier, la prise du pouvoir et la « destitution » du Chef de l’Etat, ainsi que la suspension de la Constitution et la dissolution du gouvernement. La communauté internationale a condamné ce coup d’Etat.
La Suisse, à travers le Département fédéral des affaires étrangères (DFAE), a appelé « l’ensemble des acteurs » au Burkina Faso, « au dialogue, au respect des droits de l’homme, à la garantie de la démocratie, et de l’Etat de droit » pour l’ensemble des citoyens.
Dans une brève « prise de position » publiée sur Twitter, portant sur la situation au Burkina Faso, l’un de ses partenaires au développement en Afrique, le DFAE a indiqué souligné que la Suisse suivait « attentivement et avec préoccupation, les développements survenus dans ce pays ».
IC