Le Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE) s’est déclarée « solidaire » des milliards de personnes dans le monde qui subissent l’impact de la pandémie du COVID-19, qui déclenché la « plus grande crise » de l’humanité, depuis la Seconde Guerre mondiale.
Dans une déclaration de sa Directrice exécutive, Mme Inger Andersen, il a aussi exprimé sa « profonde gratitude » aux millions de professionnels de la santé et aux membres de la famille des Nations Unies, dont l’Organisation mondiale de la santé (OMS), qui travaillent « sans relâche » pour protéger, les populations.
Reconnaissant que le Coronavirus nécessite une « réponse environnementale solide », l’agence onusienne s’est dite « prête » à apporter aux Etats membres et partenaires de première ligne des Nations- Unies, une expertise technique sur la gestion des produits chimiques et des déchets dangereux.
Malgré les restrictions dans de nombreux pays où il est présent, le PNUE reste «ouvert aux affaires», tout en respectant les recommandations émises par les autorités nationales et l’OMS. Il reste « fortement attaché » à son mandat fondamental, qui de faciliter la gouvernance mondiale de l’environnement, en adoptant « des canaux virtuels » pour tenir des discussions. Car, au bout du compte, la santé des personnes et la santé de notre planète sont intimement liées.
Déjà, le PNUE travaille en étroite collaboration avec des partenaires qui développent des connaissances scientifiques sur les liens entre la stabilité des écosystèmes, l’environnement et la santé humaine, y compris dans les zoonoses.
« C’est en raison de la nature interconnectée de toute vie sur cette planète, qu’un cadre ambitieux pour la biodiversité après 2020 est très important, et nous restons déterminés à faire en sorte que cela se produise », a souligné Mme Andersen, dans sa déclaration.
IH